Notre Histoire
"Deux marques familiales pour un savoir-faire unique.”
En pleine crise du phylloxera, Samuel Beau, épicier/quincailler à Segonzac décide d’acheter quelques vignes.
Il installe son exploitation rue Millardet et développe le commerce.
Samuel qualifiera son produit de “meilleur Cognac”.
Paul, le fils de Samuel, reprend l’exploitation au décès de son père. Avec son épouse Denise ils arrêtent la commercialisation et continuent le développement du vignoble.
Le vignoble et les bâtiments s’agrandissent. Denise fait construire d’immenses chais sur 2 niveaux. Un rez de chaussée sur plancher bois et un sous-sol sur terre battue. Ces chais vont permettent aux eaux-de-vie un vieillissement optimum.
Jean et Simone Petit viennent seconder Paul et Denise. Simone va d'ailleurs prendre soin des eaux-de-vie familiales en s'occupant du chai et des assemblages.
Martine Petit-Beau épouse Guy Laurichesse.
Guy et son frère créent la marque “Paul Beau” afin de relancer la commercialisation. La propriété compte un peu plus de 100 ha.
Guy part à la retraite.
Olivier travaille alors dans le Médoc.
En 2005 il viendra rejoindre sa famille sur le vignoble.
Olivier épouse Léa. Originaire de Segonzac, Léa revient de l’étranger où elle a travaillé plusieurs années. La même année Guy transmet Paul Beau à Olivier.
Olivier décide d’exploiter seul 20 ha, correspondants au vignoble “Laurichesse” de Verrières - Grande Champagne.
Léa et Olivier fondent la SARL Laurichesse. Un an plus tard, ils commercialisent leurs premiers Cognacs “Le Chai de Mon Père”.
Le vignoble s'agrandit et passe de 20 à 40 ha. Olivier investi dans un nouveau site à Angeac-Champagne.
L’exploitation s’agrandit à nouveau avec le vignoble “Petit Beau” à Segonzac.
Désormais la propriété est répartie entre Verrières, Angeac-Champagne et Segonzac et représente une soixantaine d’hectares.
Léa et Olivier reprennent la marque Paul Beau.
En 2024, ils développent “Maison Laurichesse” afin de faire perdurer le savoir-faire familial et entretenir l’âme des marques “Laurichesse” et “Paul Beau”.